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Le plan à la française : introduction,
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L'introduction : D'où part-on ? Où veut-on arriver ? (Pourquoi aborde-t-on ce sujet et comment va-t-on s'y prendre ?) Première partie du rapport : Situation de départ, ce qui s'est passé, ce qu'on observe, ce qu'on sait, l'état des connaissances Deuxième partie : Approfondissement par un questionnement sur les observations de la première partie Autres parties : résultats des recherches, solutions sugggérées
La conclusion : bilan et prolongements possibles
La conclusionC'est le résumé de ce qui a été fait et une ouverture sur des prolongements d'activités. Vous devez tirer vos conclusions uniquement des observations et expériences décrites dans le texte. La conclusion joue deux rôles : 1) Elle sert à dresser le bilan de ce que l'on a développé. Elle rappelle brièvement l'itinéraire parcouru, elle justifie donc le travail que l'on a fourni. C'est le C.Q.F.D. des démonstrations mathématiques. Dans sa première phase, la conclusion semble répéter l'introduction ; c'est un peu vrai. L'une et l'autre sont en position de miroir, servent de cadre à l'ensemble du texte. Mais l'introduction présente le sujet sous une forme problématique (que révèle la présence de phrases interrogatives ou de formules d'atténuation comme "on peut", "on pourrait", "il semble que", etc.) alors que la conclusion tire les leçons de ce qui a été dit : c'est le temps du "donc", du "ainsi", du "c'est pourquoi". Les phrases y sont généralement assertives; on décèle la présence de formules de soulignement, de démonstratifs renvoyant aux expressions ou aux concepts qu'on a analysés ou dont on est "l'inventeur". 2) Elle doit ouvrir sur d'autres questions en rapport avec le sujet, élargir le champ de recherche, éventuellement soulever de nouveaux problèmes. Dans cette phase, essentielle, il est bon de montrer que l'on n'est pas enfermé dans son domaine mais que l'on est conscient des prolongements interdisciplinaires de ce que l'on a cherché, des applications possibles dans d'autres branches ou dans des branches voisines de la sienne. Le sujet envisagé reprend alors une forme problématique. On se pose et on pose à nouveau des questions, ainsi la réflexion adopte une progression de type dialectique. Ainsi la conclusion fait la synthèse des points examinés, montre l'enrichissement dû à l'activité, porte un jugement final, toujours en respectant le principe de non-contradiction et de cohérence. On peut aussi suggérer des recommandations aux chercheurs qui prolongeront cette expérience.
Au terme de cette étude / de ce travail...
Serions-nous en présence d'une évolution, d'un changement
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12/12/02
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